Miss Poissa-Bloodhide, Directrice N°2

[Invité]

Nom : Poissa Bloodhide [le trait d'union importe peu]
Prénom : Killeria
Age : 26 ans 3/4 âge humain...
Sexe : Feminin
Métier : Directeur / Professeur de tutorat et d'utilisation d'objets magiques
Race : Mi-vampire
Element : Magie rouge (charmes et sortilèges des plaisirs) magie vampirique (en association avec la précédente)


Description physique (3 lignes minimum) :
Killeria a de longs cheveux noirs. Parfois on peut y voir des reflets un peu châtain-roux, ça dépends de l'éclairage. Sa peau est plutôt pâle et son visage fin. Malgré ses yeux noirs, elle paraît douce et frêle par par l'expression qu'elle y met. Ses lèvres sont bien dessinées et la lèvre supérieure est légèrement plus fine que l'inférieure. La demi vampire est plutôt mince et possède de bons attributs (une belle poitrine par exemple). Elle paraît tout à fait innocente et si vous l'examinez le jour, elle le sera... Enfin bref. Elle aime porter des vêtements simples comme un jean et un débardeur en été ou un pull en hiver. Son maquillage est plutôt léger et ses cheveux sont toujours attachés.
La nuit, La vampire sort son apparat. Sa belle robe bustier rouge sang, lacée devant, longue jusqu'à mi-mollet, volants voltigeant noirs, et raz de cou en perles d'onyx. Fleurs dans les cheveux et air désemparé, quoi de mieux pour trouver ses victimes ?
[L'avatar la représente la nuit]

Description mentale (3 lignes minimum) :
N'est-il pas préférable de laisser varier les humeurs de cette demoiselle ? Imprévisible, tempétueuse et tentatrice. Ou bien encore séductrice, violente et sanguinaire ? Soit. Killeria a une humeur changeante. Elle est toute fois honnête et dit ce qu'elle pense, ou presque. Elle respecte ses origines et ne supporte pas que l'on insulte ses parents (soit les humains et les vampires). Elle peut paraître très méchante mais au fond, elle a un coeur d'artichaut. Elle aime aller vers les gens mais ne sait pas comment s'y prendre. Enfin si vous pénétrez dans son intimité, vous verrez qu'elle n'est pas aussi douce qu'elle le laisse penser le jour...


Histoire (10 lignes minimum) :
La famille Bloodhide est une des plus anciennes famille de vampires. De génération en génération, la famille concevait un lignage de vampire des plus nobles. Leurs blason ? Une goutte de sang en renfermant une autre. Parmis cette famille, le jeune et fougueux Aloyisus Bloodhide tomba amoureux d'une humaine. Il brava sa famille et s'enfuit avant de retrouver Karmelia Poissa, son amante. Il s'aimèrent passionnément et Aloyisus lui promit de la présenter à sa famille, une fois qu'elle serait transformée. Mais Karmelia ne l'entendait pas de cette oreille. Elle voulait des enfants humain et voulait qu'ils vivent le plus normalement possible. Elle voulait qu'ils aient l'impression du temps qui passe et la pression de la vie humain afin qu'ils prennent conscience que leur vie a bien plus de valeur grâce à cette vie éphémère. Aloyisus demanda alors de l'aide à sa famille mais celle-ci refusa. Elle fit toutefois l'effort de soutenir le couple mais les diverses rencontres n'eurent pas le petit impact qu'ils pensaient. Karmelia les charma tous. Elle avait un très gros potentiel vampirique et ils s'attachèrent bien vite à la fiancée de leur fils. Lorsque le jeune couple leur appris qu'ils allaient être parents, les Bloodhide en furent ravis.
Cinq mois et demi passèrent et la joyeuse histoire devint vite un sanglant souvenir. Des douleurs atroces avaient pris d'assaut le ventre de Karmelia et toute la famille s'affola. Le médecin vampirique des Bloodhide diagnostiqua l'humaine et constata avec désolation que la future maman avait des lésions internes beaucoup trop graves pour qu'elle survive. Les larmes suivirent et Aloyisus ne vit pas la naissance de son enfant. Il ne vit pas que c'était une fille. Il ne vit pas que sa fille ne respirait plus à sa naissance. Il pleurait. Auprès de sa femme en lui promettant de veiller sur sa meurtrière. Il pleurait d'avoir perdu sa femme, le seul être qu'il aimait plus que sa propre vie. Il pleurait et ne pût s'occuper de sa fille. La famille pleurait mais lui plus que les autres. Il regarda sa fille, que le médecin avait ranimé, et l'embrassa en pleurant. Il lui donna un nom de tueuse. Il la nomma Killeria.